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  • : Quelques réflexions ou observations que j'aimerai partager avec vous sur l'actualité, la société, la politique. "La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie." Lao Tseu
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les nuages                                       








Et yeux tournés
vers la  terre
pour y regarder la nature souvent si belle












rose tassin cmp








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Black Out

HADOPI - Le Net en France : black-out
26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 07:59

La commission Balladur a examiné dans le cadre de la réforme des collectivités locales, une réorganisation des régions.

Ce découpage a été pris
ici.

Je vous invite à vous rendre sur le site, c'est beaucoup plus lisible.

Faut-il réellement toucher au découpage des régions ?

Dans les modifications proposées certaines sont cohérentes, ainsi regrouper Haute et Basse Normandie serait revenir à ce qui existait et me semble juste.

Cohérence également sur la fusion de la Bourgogne et de la Franche-Comté.

Par contre fusionner Rhône-Alpes et Auverge me semble déjà beaucoup plus problématique.

En fait, je me demande pourquoi il faut toucher aux régions. Cet échelon est intéressant.

Le département, bien que plus proche des citoyens, me paraît être un échelon intermédiaire qui pourrait disparaître sans trop de problèmes, à terme.

Entre les régions et les regroupements de communes qui seront à opérer, le département n'aura bientôt plus sa place.

Resterait à répartir entre régions et communautés de communes les compétences du département. Ce serait un travail de longue haleine, difficile.

A l'échelle de l'Europe, le département est une entité trop petite.

A l'échelle de l'homme, la commune est l'échelon à conserver pour conserver une politique de proximité.

Ce n'est que mon avis.

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25 février 2009 3 25 /02 /février /2009 07:33

Il y a plusieurs principes à respecter dans une démocratie et quand on est responsable il vaut mieux ne pas être juge et partie.

Or depuis que N. Sarkozy est chef de l'Etat, ces principes semblent avoir été jetés aux orties.

C'est hallucinant de voir combien Nicolas Sarkozy ignore les codes déontologiques.

Il passe outre la plupart du temps. Et quand il s'avère que vraiment il serait mieux de respecter un peu les codes en vigueur, il invente une lettre, une rencontre.
Bref, il s'arrange avec tout.
http://www.liberation.fr/economie/0101321567-pantouflage-de-perol-le-gros-mensonge-de-sarkozy

A tel point, qu'il est en permanence dans la provocation.

Combien de temps cela va-t-il encore durer ?

Il est toujours aussi présent, et aussi pregnant.

Que peut-on faire pour que ça s'arrête ?

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23 février 2009 1 23 /02 /février /2009 13:20

Qui peut être plus proche de l'Elysée que le secrétaire général adjoint de l'Elysée. Pas tant de personnes. Ce rôle tenu auprès du président de la République est éminemment politique.

Ainsi donc, M. Perol, secrétaire adjoint de l'Elysée est pressenti pour être de la banque issue de la fusion entre la Caisse d'Epargne et la BNP.

Comme indépendance entre cette banque et le pouvoir politique, on peut mieux faire !

François Bayrou  a fustigé cette idée et Jean Arthuis est sorti de sa réserve
ici

Quant à Mme Lagarde, elle vante les mérites de M. Perol .

Il n'est ici pas question de remettre en cause les compétences de M. Perol.

Il est juste question de déontologie. Il semble que M. Sarkozy n'ait qu'une vague conscience et connaissance de ce qu'est la déontologie.
Evidemment, il s'agit de respecter des principes. Et les principes et le président de la République je me demande si il n'y a pas comme un problème entre eux.

Jusqu'à quand ce président va-t-il bafouer tout ce qui fait notre pays ?


Pourquoi le président de la République veut-il tout contrôler, tout le temps ?

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22 février 2009 7 22 /02 /février /2009 08:28















Je viens de lire sur le blog de 
Dominique
"
Ne laissons pas Sarkozy gagner les Européennes. bonne idée mais comment"
Ne laissons pas Sarkozy gagner les Européennes, c'est ici

Pour reprendre la phrase, ce serait une erreur terrible de la part de français que de laisser l'UMP gagner les élections européennes. Ce serait donner une nouvelle fois la confiance. Or l'UMP n'a plus la confiance des français sous la houlette du gouvernement de Nicolas Sarkozy.

Et on entend souvent que fait le PS ?

Il est vrai que ces derniers mois, le PS ne s'est pas montré en parti prêt à prendre les rênes d'un gouvernement. Les querelles internes desservent le PS.
Reste que ces querelles sont publiques car règne quand même au PS une certaine transparence. Ce qui n'est pas le cas à l'UMP.

Je viens de voir un autre appel pris sur le blog de Romain et il est ici. Il s'appelle "Sauvons l'Europe".

Je ne suis experte en rien, mais il me semble que la crise ne peut se résoudre dans un pays si elle n'est pas réglée ailleurs.

L'échelon européen est un échelon suffisamment important pour pouvoir enrayer le processus de dégradation actuel.

Mais pour y arriver il ne faut essayer de faire cavalier seul ainsi que N. Sarkozy l'a fait ces dernières semaines.

Même si l'Europe est née sous l'impulsion d'Einsehower qui deviendra Président des Etats Unis, l'Europe est maintenant une réalité et je crois une nécessité. Ce n'est pas pour autant que l'Europe doit être fédérée aux U.S.A. Je dirai presque "surtout pas". 
L'Europe est riche sur tant de plans que l'union des pays européens est cohérente. Sur un plan plus politique, il serait important que la politique sociale soit plus développée au niveau de l'Europe, donc important de faire entrer au parlement européen des personnalités fortes de gauche qui savent garder leur indépendance face aux Etats Unis.

Maintenant comment faire en sorte que l'UMP ne remporte pas ces élections européennes. Il n'y a pas 36 solutions. Je sais que le vote utile déplait à certains, mais là, il y a UN SEUL TOUR puisque cette élection est à la proportionnelle.

Aussi, ne nous dispersons pas. Il ne faudra pas voter massivement CONTRE, il faut voter massivement POUR un seul parti sinon, c'est l'UMP qui emportera les élections européennes.




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20 février 2009 5 20 /02 /février /2009 20:57

En voilà un titre, chacun sait qu'on est Vendredi et donc que pour bon nombre d'entre nous la semaine est finie.
Sauf pour ceux qui travaillent le samedi, et aussi le Dimanche, mais pour la grande majorité samedi et dimanche sont jours de repos ou presque.

A peine suis-je revenue que je suis déjà fatiguée.

Difficile en ce moment le mandat d'élue, pas tant par les orientations prises, elles ne sont finalement pas trop contestées mais difficile parce que il a fallu faire face au recensement où l'état se décharge sur les communes d'une façon éhontée. C'est de l'exploitation.

Et puis et surtout il y a le contexte national qui est assez déprimant.

Un gouvernement peu présent, un président trop présent, et des réformes. Le maître mot.

Sauf que la crise SOCIALE est là, elle couvait depuis plusieurs mois. A la Guadeloupe elle a explosé. A La Martinique on s'approche de l'explosion.

Et en attendant, que fait le président, il projète d'aller en déplacement, mais ni à la Guadeloupe, ni à la Martinique.

Et on continue de nous abreuver d'annonces et l'une des dernières : former des fonctionnaires coûte trop cher à l'Etat.
C'est curieux comme certains rapports sont rapidement publiés. Parmi les fonctionnaires concernés, les magistrats. Décidément ceux-là depuis le gouvernement Sarkozy, ils sont très malmenés. Il est donc prévu de raccourcir les études et de les professionnaliser.

Toujours éviter la réflexion ... ceci dit il vaut mieux pour un gouvernement que les fonctionnaires ne réfléchissent pas trop, ils pourraient ne pas être d'accord avec leur employeur !


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19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 07:37

J'ai la nette impression d'être revenue près d'un siècle en arrière et d'assister aux oeuvres de charité des dames patronnesses.

En effet, les 2,6 Milliards d'Euros débloqués par le gouvernement me font l'effet d'une aumône face aux personnes démunies et à leur nombre qui augmente rapidement.

Je crois aussi qu'il y a une différence de niveau dans les rencontres et que les partenaires ne se placent pas sur le même plan.

Les syndicats sont venus rencontrer le président de la République et le 1er ministre pour discuter de la crise économique mais surtout pour négocier et obtenir des avancées sur les réformes du gouvernement.

Le président de la République et le 1er ministre avaient eux pour objectif de parler de la crise économique et de passer les réformes au second plan de la rencontre.

Vient donc de s'établir un magnifique dialogue de sourds. Mais le pays est au bord de l'explosion sociale à force de dire que les réformes entreprises par le gouvernement ne conviennent pas, les français commencent très sérieusement à en avoir assez.

Jusqu'ici les manifestations se sont passées dans le calme.



 









Faut-il qu'ils se mettent réellement en colère pour être entendus ?





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18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 06:47

Ce soir, le président de la République parle encore à la télévision. Ce media étant devenu l'outil du chef de l'état, pas difficile de communiquer quand il veut.

Le souci est que chaque fois qu'il intervient c'est pour nous faire avaler des couleuvres toujours plus grosses.

Le 5 février déjà il n'a fait pas eu l'audimat qu'il espérait.

Ce soir, il recommence, mais tout seul, sans journaliste à ce qu'il paraît. Il ne risque pas ainsi d'être incommodé par quelques questions plus ou moins dérangeantes.

Les Français pourraient eux aussi recommencer à laisser parler le président sans lui apporter toute l'audience qu'il souhaite obtenir.

A force d'annoncer des mesures pour le moins contestables telle la modification du congé parental ou celle des allocations familiales, on pourrait se mettre à refuser systématiquement d'écouter un personnage politique qui continue de détruire des années de construction sociale, des années d'acquis.

On pourrait imaginer de faire chaque soirée où le président intervient : une soirée sans président.

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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 17:14

Quand Nicolas Sarkozy rencontre un problème, ce qui est somme toute assez rare de son point de vue, rien ne doit lui résister, soit il crée une commission, soit il nomme un médiateur.
En ce moment, ce sont les médiateurs.

Les mèches sont presque allumées, la colère monte, alors pour désarmorcer, Nicolas Sarkozy nomme deux médiateurs auprès de Xavier Darcos, un autre auprès de Valérie Pécresse et un autre encore auprès de Yves Jego.

Mais que font-ils ?

Pour commencer, j'imagine que ces médiateurs ne travaillent pas bénévolement, ça se saurait !

Donc ils viennent augmenter les dépenses.

Oui mais à part ça ?

Sont-ils plus aptes que les ministres pour négocier ?

Connaissent-ils mieux les dossiers ?

Médiateurs ou pas, les réformes ne sont pas remises en question.

Les médiateurs sont là pour faire accepter ces réformes sauf que encore une fois, les français n'en veulent pas car elles ne sont assorties d'aucune pédagogie et ne sont pas celles que les français attendaient.

La prestation télévisée du 5 février n'a pas convaincu les français qui soit ont regardé une autre émission, soit ont continué de penser que Nicolas Sarkoz se moquait d'eux.

Mais en annonçant une aide aux constructeurs automobiles français, il est en plus soupçonné par la Bulgarie, l'Espagne et d'autres, de protectionnisme.
 
Non content dêtre très contesté à l'intérieur de son pays, Nicolas Sarkozy s'est attiré les foudres de nos voisins européens.




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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 17:00

A regarder le gouvernement et l'omniprésident s'agiter, on se demande pourquoi ils continuent de se démener autant.

En effet,  leurs réformes creusent plus profond le goufre qui sépare les politiques des français et chaque jour amène une réforme supplémentaire incomprise.

Pourquoi s'attaquer au congé parental ? au planning familial ?

Pourquoi rester sourd face aux protestations et oppositions toujours plus fortes ?

Est-ce vraiment celà la droite décomplexée ?

Pas très satisfaisant, c'est un euphémisme.

Alors on regarde à gauche.

Mais à gauche, il y a le PS toujours scindé entre Martine Aubry et Ségolène Royal, PS qui finalement n'avance pas beaucoup, trop occupé par ses conflits internes et à finaliser les listes pour les européennes.















Dommage parce que c'est laisser la place au NPA ex LCR qui a des propositions mais qui sont tout aussi irresponsables, dans une autre orientation évidemment, que celles du gouvernement.

Est-il raisonnable de revendiquer une semaine de travail à 32 h voire 30 h ?
Le retour de la retraite à 60 ans est-il réaliste ?

Que ce soit à droite ou à gauche, le paysage politique français est désolant, entre inexistance et irresponsabilité ...

Alors reste peut-être le centre ?

Là pas plus qu'ailleurs, il n'y a de réponses et les personnes qui attendaient autre chose du Modem qu'un remake de l'UDF continuent de s'éloigner de ce parti.

Ca laisse la porte ouverte aux partis d'extrême droite ou d'extrême gauche. Or ces partis sont dangereux pour la démocratie. Ils proposent le choix entre une dictature d'un homme ou une dictature d'un parti. Le résultat est le même pour la population qui vit sous ces gouvernements.

Pour résumer, à droite, à gauche, au centre, il n'y a personne qui soit susceptible de rétablir la confiance des français, qui soit capable de propositions nouvelles, concrètes et réalisables.

N. Sarkozy le sait mieux que personne et c'est toute sa force.

Ca restera sa force à condition qu'il ne reste pas sourd trop longtemps. Sa surdité est pour nombre de français signe de mépris.
Il risque fort de finir par être débordé par la colère des enseignants chercheurs, des médecins, des psychiatres, magistrats et vient s'ajouter à cette colère des classes moyennes l'angoisse de la classe ouvrière devant la crise et le chômage qui menace.

Il me semble qu'il y a deux ans à peine, le président tout juste élu avait dit à ses électeurs "Je ne vous trahirai pas".

Qu'en est-il aujourd'hui ?


Parmi les électeurs de Nicolas Sarkozy, beaucoup sont issus des classes ouvrières. Ne se sentent-ils pas un peu trahis ?







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14 février 2009 6 14 /02 /février /2009 15:37

Les mois passent et dans l'hebdomadaire Marianne, j'ai retrouvé un article qui pourrait être écrit aujourd'hui.

J'ai repris le N° 573 du 12 au 18 avril 2008 soit il y a dix mois.

Le titre de l'article : "Comment ils vont nous dégoûter des réformes"

Dix mois plus tard, le dégoût est là, bien ancré.

Les réformes sont toujours menées au pas de charge, à nous en donner la nausée.

Les économies générées par ces réformes ou censées l'être, personne n'en entend plus parler, et pour cause, la crise est passée par là.

Nous avons donc droit depuis quelques mois aux réformes que le gouvernement s'entête à vouloir continuer et à un ministre de la relance, lequel ministre et son cabinet vont peser un peu plus lourd dans le coût de fonctionnement des membres du gouvernement.

Entre les mesures de relance et les personnes nommées pour relancer, les économies, que devaient générer les réformes, sont parties en fumée.

Il y a dix mois, François Fillon parlait de plein emploi. Il devait être bien mal informé le 1er ministre car les signes de la crise s'étaient déjà manifestés., mais personne au gouvernement n'avait voulu ouvrir ni les yeux ni les oreilles alors que le prix du pétrole flambait, et que certaines entreprises commençaient à sérieusement peiner.

Et les Français dans tout ça ?

Découragés, désabusés, ceux qui se retrouvent sans emploi au en chômage technique ou partiel se demandent comment ils vont boucler leur fin de moi.

Oui, il aurait fallu des réformes mais pas celles qui favorisent l'économie mondiale et les plus riches au détriment du social.

Oui il faudrait assainir et moraliser notamment les possibilités de crédit. Il est tout à fait amoral de prêter de l'argent à des personnes dont on sait qu'elles ne pourront jamais rembourser et qu'elles seront donc étranglées par les dettes.

Oui il faudrait assainir la vie politique française, assainir les indemnités des élus, pratiquer une remise à plat et interdire le cumul des mandats.

Oui il faudrait remettre L'INTERET GENERAL au 1er plan .

MAIS quand on parle d'intérêt général, bien des regards se détournent, c'est devenu une notion très incongrue.

Est-ce normal ?

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