Nicolas Sarkozy ne doute pas.
Entre les nominations contestables, ainsi François Perol à la tête de la fusion entre Caisse d'Epargne et la Banque Populaire, entre les émeutes à la Guadeloupe, à la Martinique, après la grève générale en France du 29 janvier, avec la colère des enseignants chercheurs, des enseignants du primaire, des magistrats, des médecins, on pourrait imaginer que le doute assaille Nicolas Sarkozy.
Pas du tout !
http://2007.fr.msn.com/ArticleView.aspx?ArticleId=426aab9e-36c5-4c6d-b96d-6aa456126cbe
Je reprends une des phrases de l'article "En période de crise, ce que les gens veulent, c'est que le capitaine mène le bateau, qu'il fasse le travail, qu'il prenne des paquets de mer sur les épaules et qu'il ramène le bateau au port", tranche-t-on à l'Elysée.
Je me demande si les français ne préfèrent pas un peu plus de travail et un peu moins de communication.
A force d'imposer son image au journal de 20 h il finit par lasser.
Il arrive même à être contesté dans son propre parti. C'est normal, en fait, les ministres ne sont pas ceux qu'on croit. Ceux qui ont le pouvoir se trouvent à la cour du roi. Ce sont les conseillers. Le seul problème est qu'on est en démocratie, et non en monarchie, enfin, pas encore ! Je vous engage à lire un article du monde bien intéressant ici